On my mind, on my mind, on my mind, on my mind, there’s a thing that I can’t explain

jeudi 4 octobre 2007

Parfois au détour d’un mail inattendu on replonge brusquement et brutalement dans son passé, dans ses souvenirs.
Beaucoup de choses remonte à la surface, des choses bonnes et moins bonnes, des souvenirs plus ou moins heureux.

Cette remontée de souvenirs n’est pourtant pas douloureuse, loin de là, c’est d’ailleurs peut-être ça le pire : frôlerais-je le masochisme ?
Non, je ne crois pas, c’est bien pire que ça, c’est uniquement la délicieuse impression causée par la nostalgie, cette douleur diffuse et douce en même temps.

Et pourtant, rien ne m’obligeait à me plonger dans ces affres de l’esprit, j’aurais pu faire fi de ces réflexions en me contentant de ne pas lire, de ne pas répondre, et c’est certainement là que mon masochisme entre en jeu : il aura pour lui un terrain propice pour s’amuser !


Queen – These are the days of our lives
Eh non, pour clore ce billet, ce ne sera pas le On my mind des Sundays Drivers que je mettrai, mais plutôt un titre qui se trouvait évoqué il y peu lors d’un discussion sur un concert à Wembley et un titre que j’ai ré-entendu ironiquement hier soir dans le restaurant de la banlieue lilloise où l’on se trouvait….
Pour le coup, Neldor pourra en effet du côté gentil de cette chanson…


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