Ephemeral sunshine of the spotless mind
Decidemment "Eternal Sunshine of the spotless mind" suscite bien des discussions. La dernière en date remonte à ce matin avec une amie qui l’a enfin vu hier.
Attention ami lecteur de passage, ce qui va suivre provient d’une reflexion tiré de la fin du film, en d’autres termes tu vas te retrouver devant un beau spoil des familles. Te voila prévenu, maintenant, libre à toi de poursuivre ta lecture !
Donc en fait, sorti du fait de se demander ce que tout à chacun ferait à la place de Joel : est-il judicieux de retenter une relation avec une personne qu’on vient de rencontrer tout en sachant ce qu’on risque de lui reprocher à terme, de savoir ce qu’elle pensait reelement de nous. Il reste alors le fait de se demander si l’idée d’effacer tous ces souvenirs peut encore avoir une signification ou un intérêt quelques semaines ou quelques mois plus tard.
Je suis, maintenant, plongé dans une certaine perplexité : évidemment avec le temps les douleurs les plus fortes disparaissent, et il ne reste qu’un petit relent de nostalgie. Mais pas toujours, parfois subsistent encore des blocages, des déceptions, de l’amertume même longtemps après. Et même si on se dit que ce petites choses ne son plus autant invivables que la douleur originale, serait-il ou non interressant de les faires disparaître ??