Lost

Naïf, je crois toujours l’avoir été à des degrès plus ou moins important, avec des conséquences plus ou moins flagrantes.
Bien sur je ne crois pas (plus) que l’Homme peut être foncièrement bon, je n’ai plus envie de ma laisser aller à me faire avoir, et pourtant, pourtant (dirait Aznavour)…..
Naïf je le suis au point de parfois faire souffrir quand je ne vois pas ou ne veux pas voir vers quoi me mène mes décisions, naïf je le suis au point de souffrir quand j’ai accordé ma confiance alors qu’il ne le faudrait pas.
Me voila tiraillé entre le désir d’accorder une confiance trop souvent bafouée et une envie de me protéger de tout et de tous.
Combien de fois encore devrai-je me sentir déçu ?
Combien de fois encore devrai-je me dire que je suis trop con ?
Combien de fois….
Combien de fois encore me retrouverai-je à laisser mes sentiments errer entre dépit, déception, énervement et envie de vomir ?
Je peux être naïf et con, mais je crois que par cet état de fait j’ai bien moins fait souffrir que je n’ai moi-même subi, bien que j’accepte les reproches, que j’assume mes erreurs, il n’e nreste pas moins que comprendre ou apprendre les choses est douloureux, que je n’y suis que rarement prêt et que je vais arrêter d’écouter du Cali quand je suis en phase de questionnement dans ma voiture.

Pauvre garçon, pauvre garçon, pauvre garçon
Pauvre petit con

Cali
Pauvre Garçon


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