Dreamin’ blue
Certain matin, je n’ai pas envie de me reveiller, non pas qu’un manque de sommeil flagrant se fasse sentir (quoique, parfois…) mais plutôt que l’envie de rester dans mes rêves soit extrèmement attirante.
Quelle frustration de sortir de ce court instant, ce moment de flottement durant lequel on ne sait plus très bien ce qui est le rêve et ce qui est la réalité. Qu’il est douloureux de se rendre doucement compte que tout ce qu’on prend pour un délicieux souvenir n’est ni plus ni moin sque le produit de notre cerveau.
Les rêves étant bie nsouvent basés sur l’inconscient de nos phases eveillées, les liens entre l’un et l’autre sont parfois tellement fort, tellement crédible qu’il en est difficile de faire la part de l’un ou l’autre.
Mouais, c’est bien beau tout ça, mais ce que je retiens surtout, que ça me perturbe encore plus que ce que je pensais : j’en viens à en rêver la nuit, maintenant