pamieu
Je crois que j’ai été un peu présomptueux dans mon dernier billet (ça va finir par se voir que je repompe mes propres billets…) en ce qui concernait le pouvoir des médicaments.
La dose de médications prise le matin m’aura permis de tenir tout au long du déménagement sans trop de problèmes, c’est ensuite que les choses se sont compliquées ne m’empêchant pas pour autant de profiter d’un peu de participation à du cuisinage et des préparatifs de soirée.
Vu mon état, j’ai malheureusement dû écourter la soirée, faut dire que j’y étais très calme de toute façon….
Je ne regrette pourtant pas d’y être resté ne serait-ce qu’un peu, pour divers raisons et surtout pour cet air de surprise à l’ouverture de la porte face un bouquet inattendu…
D’ailleurs, au moment même où j’écris ce billet, la question cruciale de savoir pourquoi, même lorsque je commence à être malade, je continue à vouloir faire ce que j’avais prévu vient m’est posée….
C’est en effet une question forte intéressante, enfin surtout quand il n’y a pas d’autres questions dans l’instant…. il n’en reste pas moins que je me l’étais déjà posé moi-même cette forte admirable question.
Il y a évidemment, la plus basique des raisons, dans un premier temps, celle qui me pousse assez naturellement à respecter mes engagements, à vouloir être un minimum loyal, à ne pas décevoir…..
Mais ce n’est pas tout, loin de là, la raison majeure ressemblerait plutôt à une épreuve de force : celle de me mesurer à aux soucis médicaux, de naïvement penser qu’à ne pas me laisser complètement abattre par une maladie et montrer lequel est plus fort finira par la faire partir d’elle-même : c’est dire si je suis naïf parfois !
Toujours est-il que malgré tout, cette méthode ne me réussit pas trop mal, si j’en crois le temps depuis lequel je n’ai pas été contraint d’avoir un arrêt pour cause médicale !
Ceci dit, après une nuit de plus de repos, quelques cachets en plus et un alimentation adéquate, je me sens déjà bien mieux….
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