Let never stop falling in…

lundi 10 octobre 2011

PINK MARTINI à l'Olympia : Octobre 2011


Tant qu’à revenir passer du temps sur ce blog, autant me remettre à rédiger des billets aussi….
Et parmi toutes les choses à raconter, il y a le concert de Pink Martini que je suis allé voir le lundi 03 octobre.

Pour la 3ème fois j’allais voir le combo de Portland : après 2 séances au Grand Rex, ça changeait, on se retrouvait à l’Olympia.. jusque là, rien à redire !
Comme à chaque fois, les lumières se sont éteintes, les musiciens ont pris place et l’air du Boléro de Ravel à commencer à s’élever dans l’air : une version qui prend des allures plus exotiques et qui voyagera entre les différents instruments jusqu’à finir par un ensemble musical des plus envolé sous l’impulsion de Thomas Lauderdale au piano
Et là est arrivée une petite déception : comme d’habitude, après cette mise en bouche musicale, il est temps de passer au chant et de voir l’arrivée de China Forbes… mais (car il y a un mais) j’avais oublié que miss Forbes s’était fait opérer des cordes vocales et qu’elle ne participait pas aux tournées européennes, d’où la déception : Pink Martini sans China Forbes ça n’est plus vraiment Pink Martini.
Thomas Lauderdale a alors présenté celle qui allait remplacé miss Forbes sur cette tournée : Storm Large
Après une courte présentation, qui nous décrit une Storm Large « Haute et hot », il est temps de lui laisser sa chance et de démarrer sur un Amada Mio plein d’entrain.





Histoire de voir à quoi correspond les interprétations des chansons des Pink Martini par Storm Large, voici une vidéo de sa version de Splendor in the gras





Maintenant que les présentations sont faites, le concert peut continuer sous la férule de Thomas Lauderdale.. et il faut dire qu’une fois la petite déception passée on se retrouve vite sous le charme de Storm Large : ça change de China Forbes, mais là on se retrouve sous un flot de sensualité énorme… les titres de Pink Martini découvrent une nouvelle vie plus sensuelle, plus chaude.
C’est sous cette sensualité que les chansons du groupe défilent : comme à chacun des concerts de Pink Martini, on alterne entre chansons et titres purement musicaux : des titres qui comme souvent allient des rythmiques « world » avec des la musique classique, comme sur 2 titres issus de l’album Splendor in the grass (And then you’re gone et Now, I’m back) qui se répondent et qui sont issu d’une symphonie de Schubert.
Sur Now, I’m back on a d’ailleurs eu l’occasion de découvrir un nouvel interprète : Ari Shapiro, qui lui aussi amenait un peu de fraicheur et de sensualité aux chansons de Pink Martini





Avec la fougue habituelle inhérente à Pink Martini et la sensualité débordante de Strom Large, le concert prenait une nouvelle dimension, plus le temps passait plus on s’habituait à cette nouvelle forme et plus l’ambiance montait jusqu’à atteindre le final classique des ces concerts : un Brazil rythmé, motivé et chaud :



Cette fois-ci, le concert du combo de Portland n’aura pas eu pour effet de détendre l’atmosphère et permettre une réconciliation, il n’aura pas non plus entrainé de changements radicaux dans ma vie sentimentale mais une fois de plus il m’aura donné la pêche, empli d’énergie et m’aura laissé avec une vraie sensation de bonheur : finalement, je n’en demande pas plus !
Et, en plus, j’ai découvert Storm Large, que demande le peuple ?


Allez, comme je suis gentil : le site de Pink Martini offre un des titres du prochain album en duo avec Saori Yuki, et ce titre est téléchargeable ici



Pink Martini and Saori Yuki – Mas que nada


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