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lundi 30 mars 2009

Houla, ça commence à faire long depuis le dernier billet posté sur ce blog….
Comme je commence à crouler sous les brouillons d’articles que je n’ai pas le temps de faire et que j’ai quand même envie de remettre un peu de vie ici je vais faire simple et revenir sur 3 semaines de billets non-fait pour terminer ça !
Il va y avoir du concert, du cinéma, des expos, des spectacles, des balades, du boulot….. toute ma vie, quoi, condensé en 1 billet !

  • Emily Loizeau à l’Alhambra
  • Après la sortie de son nouvel album, Pays Sauvage, il fallait bien qu’Emily nous gratifie d’une série de concert pour partager le tout avec son public.
    Je vais faire rapide, simple et un peu glandeur en te renvoyant, ami lecteur, vers le billet fait par Rod sur Le HibOO (il s’est cassé le cul à faire un petit texte et des jolies photos, autant en profiter…).
    En tout cas, j’ai passé une très bonne soirée, porté par les titres du dernier album, et quasiment que ça (à part une reprise et 2 titres de l’Autre Bout du Monde) : c’est en live qu’Emily Loizeau prend toute sa mesure, le calme de l’album disparait au profit d’une véritable énergie communicative.
    En tout cas, une chose est sure…. il a bien vieilli Renaud !

    Set-List :
    – Le coeur d’un géant
    – Fais battre mon tambour
    – Ma maison
    – Tell me that you don’t cry
    – Coconut
    – La femme à barbe
    – Princess and the Toad
    – Little something
    – La dernière pluie
    – Pays sauvage
    – Songes
    – La photographie
    – In our dreams
    – Sister (English version)
    – Bigger than that
    – Come on up to the house (Tom Waits Cover)
    – —-
    – Dis-moi que tu ne pleures pas
    – L’autre bout du monde
    – I’m alive

    Vivement son concert du 8 décembre à l’Olympia, maintenant

  • The Wrestler
  • The Wrestler | Un film de Darren Aronofsky
    Après avoir profité d’un bon concert le vendredi soir en compagnie d’un d’un sympathique collègue ainsi que de sa femme (bah si, j’en parle au-dessus), je suis allé profiter d’une séance en salle obscure avec l’ami Olivier pour voir le denier Darren Aronofsky, à savoir The Wrestler.
    On y va pas par 4 chemins, j’y colle un rapide synopsis et ensuite j’y donne rapidement mon avis….

    A la fin des années 80, Randy Robinson, dit The Ram (« Le Bélier »), était une star du catch. Vingt ans plus tard, il ne se produit plus que dans des salles de gym de lycées ou des maisons de quartier… Brouillé avec sa fille, il est incapable d’entretenir une relation durable avec quiconque : il ne vit que pour le plaisir du spectacle et l’adoration de ses fans.
    Mais lorsqu’il est foudroyé par une crise cardiaque au beau milieu d’un match, son médecin lui ordonne d’abandonner le catch : un autre combat pourrait lui être fatal. Contraint de se ranger, il tente de renouer avec sa fille et, dans le même temps, entame une liaison avec une strip-teaseuse vieillissante. Pourtant, son goût du spectacle et sa passion pour le catch risquent bien de reprendre le dessus et de le propulser de nouveau sur le ring…

    Trois ans après la sortie de The Fountain, Darren Aronofsky nous revient enfin avec un nouveau film, un film plus « simple » et plus réel que ne l’était The Fountain ou Reqiuem for a Dream : beaucoup moins de débauche graphique, plus de réalité et surtout le retour d’un grand Mickey Rourke, tout en finesse, sans compter la BO très rock 80’s…. laissant la part congrue à Clint Mansell, compositeur habituel attitré du réalisateur.
    Un film qui revint de manière subtile et simple sur le monde des petites ligues de catch : c’est simple, c’est beau et c’est émouvant !
    Et ce sera suffisant pour un rapide compte-rendu !

  • Il était une fois… Franck Dubosc
  • Il était une fois... Franck Dubosc
    Pour son anniversaire j’avais offert deux places pour le nouveau spectacle de Franck Dubosc à ma soeur, et comme je comptais aussi aller le voir, l’idée d’aller le voir aussi au Zenith de Nancy et d’en profiter pour y passer un petit week-end semblait être la meilleure.
    Seul inconvénient : c’est loin !
    Le vendredi soir était dédié à aller voir le spectacle, un spectacle reprenant une vie « légèrement » romancée du comédien…. Il faut un peu de temps pour que l’ambiance s’installe, mais une fois que c’est parti on entre dans 2 heures de rire face au personnage de macho mégalo égocentrique que Franck Dubosc s’est forgé depuis maintenant quelques spectacles.
    Un très bon choix pour un très bon moment de rire et de plaisir… ce serait parfait si le parking du Zenith de Nancy n’était pas si mal pensé qu’il faut une heure pour le quitter….

    Tant qu’à être à Nancy autant en profiter pour me replonger dans de vieux souvenirs, me remémorer mes années de fac et profiter du beau temps pour aller me promener en ville.
    D’ailleurs ça m’a permis de prendre quelques photos, puisque en quelques années sur place, je n’avais quasiment pris aucune image de la ville.

    Nancy

    Nancy

    Nancy

    Nancy

    Nancy

    Nancy

    La suite au prochain billet… il est maintenant temps que j’aille rejoindre mes petits camarades des Impromptus de la Joute pour notre spectacle à l‘Espace Saint Honoré


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