La sodomie, c’est comme les antibiotiques : c’est pas automatique

Quand on se réveille le dimanche matin en étant malade, en n’ayant pas assez dormi et en ayant récupérer un petit mal de crâne il n’y a pas beaucoup de solutions : normalement, la logique voudrait que mon lit m’appelle et me propose de finir ma nuit en son sein et enfin profiter d’un peu de repos….
Mais ça se saurait si je cédais aux appels de la logique, c’est bien pourquoi j’ai opté pour la seconde solution, à savoir me rendre à mon cours d’improvisation théâtrale hebdomadaire afin de me remettre en forme.

Et comme souvent, une fois que j’y étais, je me suis senti mieux : le mal de tête avait disparu et la forme était revenue…. surtout que le cours se déroulait en comité restreint, obligeant à travailler d’autant plus et permettant ainsi de rester en éveil.

Puisque j’étais à nouveau en forme, il eut été dommage de ne pas aller profiter de la soirée d’après-cours habituelle dans un restaurant du coin : une soirée dont les discussions se sont très vite classiquement orientées vers nos deux domaines de prédilection, les relations sentimentales et le sexe !
En fait surtout le sexe, bon ce n’était pas la première fois que je me retrouvais au milieu d’une discussion de filles et ce n’est surement pas la dernière, mais là j’en étais à avoir l’impression de me retrouver au milieu de nos discussions habituelles au bureau.

Malgré tout, si les sujets de discussions ou les personnes impliquées ne me traumatisaient pas, il n’en reste pas moins que parfois certains point évoqués avaient une résonance personnelle un peu troublante : comme quoi la schizophrénie a des influences particulières….


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