Ca faisait bien longtemps que mon activité professionnelle ne m’avait pas permis d’aller me promener un peu à l’étranger (bon, je ne compte pas la Suisse, la Belgique et Monaco comme vraiment l’értanger, hein… pas asez exotique !)… mais finalement, je repars en balade : histoire de changer un peu ce sera la Roumanie et un petit tour jusqu’à la fin de la semaine à Timişoara .
Bien entendu, de prime abord, Timişoara aurait tendance à faire remonter quelques souvenirs de cette fausse affaire de charnier, mais ça a finalement un côté pas très joyeux, alors, à choisir, je préfère me laisser aller à penser l’autre évocation de la Roumanie qui me vient à l’esprit rapidement : la fameux et trop peu célèbre titre Ceausescu des Ludwig von 88
Il y a parfois des choix audio intéressant dans les émissions radio : pour le coup, le dernier extrait marquant était dans le Rendez-vous avec X du 1er septembre et qui traitait de la mort de Ben Laden….
J’avais déjà eu cette impression somme toute surement très banale que le monde de l’emploi s’apparentait beaucoup à de la séduction, depuis quelque semaines cette sensation se confirme : approché par des sociétés de recrutement, on s’est parlé au téléphone, on s’est rencontré, on a discuté, on s’est séduit, on s’est reparlé au téléphone, j’ai vu les sociétés clientes et le manège à recommencé… jusque là, rien que de très normal, après tout.
Dans le même temps, étant en poste j’ai l’étrange impression de « tromper » ma société, de lui cacher mes aventures, de faire comme si de rien n’était tout en pensant à l’autre.
Là où j’ai à nouveau l’impression d’être dans un mode de séduction amoureuse, c’est que tout comme avec la gente féminine je ne me rends pas toujours compte que je « plais », j’ai même l’impression de laisser indifférent… et pourtant, pourtant c’est souvent bien plus positif que ce que je pouvais imaginer (mais l’inverse peut aussi être vrai, d’ailleurs).
Alors, peut-être me faudra-t-il renoncer à mon doux cocon pour me lancer dans une nouvelle aventure plus excitante ou alors saura-t-on me retenir en me prouvant un amour auquel je ne crois plus ? là est la question et la réponse ne devrait plus tarder !
Il y a des inerties difficiles à combattre, il y des moments où l’on ne sait pas vers quoi on va, on attend, on patiente et on patiente encore en espérant qu’un jour une réponse claire, nette, précise arrivera.
Alors, il faut peut-être laisser décanter le tout, que tous les éléments soient en place, mais d’ici il faut attendre, encore et toujours, ne pas savoir et ne pas trop espérer…
Arghh, voila c’est reparti, je sens que ça va encore être un beau « bordel ».
Du 18 au 22 juillet, c’est le retour du Festival transnational des artistes de la rue, autrement dit la 26ème édition de Chalon dans la Rue…
Passer ses soirées à l’hôtel a au moins un avantage : je peux prendre le temps de revenir sur un tri de photo dont le retard s’accumule et faire un peu de retouche…
Comme je ne suis pas complètement égoïste, j’ai envie de te faire partager un peu de mon jeu de ce soir, un partage qui prendre la forme de 3 photos d’une balade bisontine d’il y a 2 mois
Ce genre de soirée, c’est aussi et surtout l’occasion de lancer mon iTunes en mode aléatoire et de pouvoir profiter de morceaux que j’avais oublié, perdus au fin fond de mes souvenirs mais qui ont toujours le même pouvoir nostalgique :
C’est honteux, oui je sais c’est honteux : alors même que ce 31 mai était la journée mondiale sans tabac, et que je me retrouvais à passer une soirée à Saint-Etienne (oui, oui, je sais, ça fait mal), je n’ai pas pu résister à l’appel du verre en terrasse en profitant d’un bon Cohiba…