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YaourtstoriesPour ceux qui, en plus de lire le ramassis d’inepties et de futilités qu’est ce blog (ben oui, quand même, c’est le postulat de départ de ce site, après tout), suivent ma vie trépidante sur le forums de Gamekult, il n’y aura pas de surprise, eh oui je devais aller au théatre hier, mais pour voir quoi me demanderas-tu, toi, ô lecteur chéri…. Pour voir Yaourt Story, pardi, te répondrais-je (je crois que je m’emporte là).

Alors tout d’abord, voici le pitch de cette pièce :

"1er épisode : Les familles Fenton, producteurs de yaourts, et Cambridge, producteurs de lait à Geneviève City,  se détestent depuis plusieurs générations. A la mort de Chase Fenton, son fils, Pôl, accusé à tort d’un meurtre qu’il a peut-être commis, sort de prison. Il revient prendre la tête de la société, au grand désespoir de Foster et Ashton, son frère et sa soeur. Redgie Cambridge y voit l’occasion de gagner ses parts dans la société rivale. Mais sa femme, Véra, “compote” derrière son dos.
Alors bien sûr, il y a aura du suspense, de l’amour, des mensonges mais aussi, du suspense, de l’amour, des mensonges…
Avec également, une speakerine, des fausses pubs et du yaourt.
"

A vrai dire, la soirée n’était pas forcément propice à la  "Grosse Rigolade", j’y allais parce que mes amis Nel et Titx m’avaient conseillé cette pièce, et que je connais leur gouts (à vrai dire, connaissant les gouts en la matière de Neldor, je ne me faisais pas de soucis), mais en même temps y retourner avec une certaine personne peut rendre cette soirée légèrment plus "tendue".
Alors, heureusement, cette pièce est exceptionnelle, on rit du début à la fin presque sans interruptions, le style est décalé un peu déjanté, ce sont de grand malade, avec une spéciale dédicace à la speakerine et surtout au canard, qui m’a bien fait rire (et pas que moi, d’ailleurs, hein, Marie, avoues que tu as les même gouts pourris que moi en humour :p ).

Donc, oui, je conseille cette pièce, et plutôt deux fois qu’une, c’est extraordinaire, hmmm oui, extraordinaire !! Rien de tel pour se changer les idées et se détendre.

Et maintenant, moins drôle, mais je sais que cela interressera certain, la face "sombre" de cette soirée : eh oui, ça y est, j’ai pu parler, et bien sur je ne le faisais pas pour changer quoique ce soit, mais j’en ai eu besoin. il n’en reste pas moins que ce fut douloureux, et qu’il faut bien se rendre à l’évidence, je n’ai pas toujours ce que je souhaite :)

Et en conclusion, que ce soit pour le spectacle ou pour les souvenirs qui me resteront une fois l’amertume passée, je paraphraserai Enzo-Enzo dans sa repise "Dream a little dream" en disant :

Ce souvenir je te l’prends

Des souvenirs comme ça, j’en veux tout l’temps


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