C’est très geek…. Mais ça se fête, me voila de retour en France après une semaine Toscane, et voila le 3G de retour et une première note de blog !
Mouais, en fait c’est effrayant ça !
Ca va faire maintenant presque 2 mois que j’ai changé de vie, que je suis passé à l’existence provinciale, que j’ai quitté mon bureau francilien et mon appartement de la même région.
Mon emploi du temps étant ce qu’il est, je n’ai toujours pas eu le temps de finaliser ce transfert en effectuant le déménagement dudit appartement vers ma nouvelle région… aussi j’ai saisi l’occasion de devoir repasser par le siège en cette fin de semaine pour passer du temps « chez moi » et finaliser quelques cartons.
Et bizarrement, si le passage par le bureau ne me traumatise pas vraiment, je m’y sens toujours comme si j’y travaillais, il n’en était pas de même dans l’appartement : est-ce le fait que les cartons commencent à s’accumuler, que le meubles et les pièces se vident ? peut-être, mais je crois que ce n’est pas tout, j’ai la sensation de ne plus être chez moi dans cet appart : non pas que je pense être chez quelqu’un d’autre, loin de là, mais plutôt de ne pas y vivre, de ne pas y trouver vraiment mes marques.
Enfin, tout ça touche à sa fin, l’heure de l’ultime transfert approche, fin juin j’aurai définitivement troqué la vie de mon appartement contre la tranquillité de la vie en maison…. avant de laisser la place à d’autres changements plus importants et surement plus passionnant.
Gégé
C’est quand même bien beau, la conscience professionnelle… Mais ça n’aide pas à se reposer !
Je viens peut-être de trouver le meilleur moyen de continuer à faire vivre ce blog : mettre l’application WordPress sur mon iPhone… Eh oui, j’assume !
Y’a pas à dire, ils sont fort ces chnois pour mettre des phrases à la con dans leurs gâteaux….
Don’t marry someone you can live with, but with whom you cannot live without
J’aime bien sauter et surtout sur les occasions, et quand celle qui se présente est de profiter du week-end d’anniversaire de mariage d’un couple d’ami pour les voir et pour visiter Cluny en même temps, je ne vais quand pas me géner…
Surtout que de Cluny je ne savais pas grand choses… certes, comme beaucoup je liais Cluny à une abbaye mais c’est bien tout ! Puisque Cluny n’est pas si loin de mon nouveau lieu de résidence qu’est Chalon-sur-Saône, c’eut été bien con de ne pas y aller…
Alors oui, on associe toujours Cluny et abbaye, donc en arrivant en ville on cherche cette abbaye : on y trouve un très beau et grand clocher, quelques bâtiments de factures gothiques et quelques ruines…. et en fait ces ruines sont l’abbaye, seul le clocher reste de ce qui était la plus grande abbaye d’Europe et qui était même le plus grand bâtiment religieux européen avant la rénovation de la Basilique Saint-Pierre de Rome.
C’est en visitant les « lieux » qu’on apprend que le summum des abbayes bénédictines avaient pâti des armées révolutionnaires, mais surtout qu’au final ce superbe bâtiment au croisement des arts gothiques et romans avait fini vendu à des marchands et explosé à coups de mines pour en faire de la caillasse….
C’est effrayant de voir que que les hommes sont capables de produire des œuvres flirtant avec l’immense et qu’en même temps ils sont capables des pires conneries et des pires bassesses pour un peu d’argent…
Bon d’accord, il ne reste pas grand chose, mais ce qu’il y reste suffit déjà à comprendre ce qu’était ce monument et il est toujours possible d’y voir l’emplacement du narthex, des Barabans et du transept sud… sans compter que le bâtiment de style gothique attenant n’est rien d’autre que l’ENSAM et que les ingénieurs sont parfois utiles, au moins à faire des écrans de réalité augmentée permettant d’avoir un aperçu de ce qu’était l’intérieur de l’abbaye en s’y baladant.
Alors, finalement, d’abbaye il y n’y a point ou en tout cas peu, mais Cluny est une ville agréable à visiter et surtout quand on y va pour rejoindre un couple d’ami fêtant leur 1er anniversaire de mariage, et là, c’est ça qui est bon !
Réveille moi
C’est impressionnant, voir même effrayant de constater le nombre de billets à l’état de brouillons et qui vont finir par être mis à la corbeille…
Si j’ai encore un peu, parfois le temps de commencer un billet, j’ai de plus en plus de mal à les finir… et, pour être franc, s’ils ne sont pas finis dans la demi-journée, c’est un peu foutu : soit le sentiment qui prévalait à la création de billet s’est évaporé telle l’évanescence d’une fonction d’onde ou alors l’intérêt temporel du billet n’a plus lieu d’être… difficile dans ces conditions de se replonger dans le cœur d’un billet qui sera de toute façon hors-propos.
Ce qui m’interpelle le plus c’est quand je replonge dans les archives de ce site que je vois le nombre de billets quotidiens que j’étais capable de faire (attention, qu’on ne me fasse pas dire ce que je n’ai pas dit : je sais bien que quantité n’est pas synonyme de qualité, même si ça rime… un peu comme bon vivant rime avec prévoyant… mais je m’égare et cette parenthèse commence à être ouverte depuis bien trop longtemps, sans compter que c’était un aparté tout à fait superflu… ) et le nombre de commentaires qui suivaient, des commentaires qui devenaient rapidement de petits salons de discussions : un mode de communication qui a certainement subi le passage dans le coin de Facebook.
Voila pourquoi, il est souvent plus simple de faire un rapide passage pour y déposer quelques photos, ce qui ne nécessite pas vraiment d’avoir un lien direct avec mon activité du moment, mes réflexions, mes envies ou mes pensées.
D’ailleurs, pour la peine, je vais en profiter pour y mettre quelques photos de ma balade d’il y a 2 semaines à la cité médiévale de Pérouges, tiens…
j’ai même pas honte…. mais je pense toujours à ça quand je sors mon costume pour le mettre :
Y’a du lâchage dans la saison 5 de How I Met Your Mother, ça chante beaucoup plus d’un seul coup
Et c’est aussi passke je kiffe Neil Patrick Harris
